47 jours de confinement et de souffrance d’un soumis cocu sous cage de chasteté

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il y a 4 ans
Le 17 mars, l’amant de sa femme était chez eux. En mission dans la région, il ne devait rester que jusqu’au dimanche 22 mars. Maître Sam peut travailler de n’importe où, et quand sa femme lui a proposé de rester confiné chez eux, le pauvre Paul qui est soumis a pris peur et vous aller comprendre pourquoi !

Présentation de ce trio particulier :

  • Paul 43 ans, est le mari de Carla qui est sa Maîtresse. Il est relativement soumis et sous cage de chasteté, un peu cuckold, CAD qui aime bien jouer le rôle de cocu.

  • Maître Sam 35 ans, les domine tous les deux. Il ne fait pas parti de ces égoïstes qui disent accepter de dominer le couple et qui, en réalité, ne s’occupe que de la femme.

  • Carla 31 ans, est plus une soumise libertine qu’une Maîtresse. Elle a accepté de garder les clés de la cage de chasteté de son mari pour lui faire plaisir, et surtout.... s’envoyer en l’air quand elle en a envie, que ce soit avec son mari ou des amants de passage.

Si Paul aime bien que de temps en temps, Maître Sam s’occupe d’eux, les martyrise un peu et baise sa femme en jouant le cocufieur, que cela excède plus que quelques jours ne l’amusait pas. Ces derniers temps, Maître Sam devenait très intrusif dans leur vie de couple, ce n’est pas qu’il baise sa femme qui lui pose problème, mais c’est qu’il ait pris le contrôle de sa cage de chasteté et l’oblige à dormir dans la chambre d’amis. Fini pour lui et jusqu’à une date inconnue, les câlins avec sa femme et les petites branlettes quand elle laisse traîner les clés de sa cage de chasteté. Là, avec ce confinement à trois, il rentrait dans la soumission totale et de longue durée.

Paul essaya d’en parler avec sa femme qui, au lieu de comprendre le problème et d’en discuter, s’est mise à jouer les allumeuses et la Maîtresse. Elle attrapa son mari par les précieuses, les malaxa de façon à rappeler qui est la Maîtresse, puis le déculotta pour embrasser et parler à son sexe encagé !!!!! Après une semaine de chasteté, le cerveau du pauvre soumis descendit d’un demi étage pour se retrouver sous son nombril. Le «cerveau » malaxé et taquiné il ne parvint pas à exprimer ses craintes, il se contenta donc de gémir et de dire « encore ».

Sortant de sa douche, Maître Sam surpris la scène et demanda ce qu’il se passait et si le soumis avait fait une bêtise. Carla lui répondit qu’il se plaignait d’être encagé ce qui fit rire le cocufieur.

  • Alors comme ça tu as ta nouille qui se rebelle ? Une fessée s’impose déjà pour commencer, ensuite, je m’occuperai de son cas ! Répondit Maître Sam.

Attiré sur les genoux de Maître Sam et déjà déculotté avec le pantalon et le slip aux chevilles, Paul reçut une bonne fessée en gesticulant comme un gamin. Il est vrai que la main de ce fesseur d’un mètre quatre-vingt dix est un véritable battoir même quand il donne une petite fessée. Il comprit que leur Maître avait envie de jouer quand il demanda à Carla d’aller chercher leur gode ceinture. En soumise obéissante, Carla revient quelques minutes plus tard avec le sextoy accroché à sa taille.

  • Ah tu l’as mis, j’avais une autre idée, mais ce n’est pas grave, on peut aussi faire ça. Tu vas baiser la petite lopette pendant qu’il me taille une pipe pour me remercier de ne lui avoir donné qu’une petite fessée.

Soumise Paul les fesses en feu, ne partageait pas le même point de vue sur la « petite fessée » mais trop content quelle s’arrête, se mit immédiatement à genoux devant son fesseur pour lustrer la belle verge encore molle. Carla lubrifia la petite rondelle de son mari, se mit à genoux derrière puis, ni une ni deux, l’embrocha comme les bouts de viande sur les brochettes qu’elle préparait. Le pauvre soumis cria un peu, Maître Sam appuya sur le tête du soumis en lui disant « tais-toi et suce ».

  • Va chercher des préservatifs, on va en avoir besoin ! Demanda Maître Sam au bout d’un moment de ramonage de fion dont les gestes, s’étaient répercutés sur sa verge à présent en pleine forme.

Lorsque Carla revint, il expliqua que, dans sa grande bonté, il allait donner du plaisir à Paul et qu’il ne serait pas oublié, bien au contraire. Il précisa qu’il allait avoir le droit de baiser sa femme s’il jouait bien son rôle de petite pute. Paul ne comprit le sens de « jouer son rôle de petite pute » que lorsque Maître Sam l’obligea à se pencher en avant sur la table du salon pour l’embrocher à son tour.

  • Oh ça l’excite de se faire sauter, il coule du jus à travers sa cage ! Annonça Carla sans complaisance en regardant ce spectacle matinal fort excitant.

  • Puisqu’il fait la pute, tu devrais le féminiser, cela serait plus excitant pour moi ! Lui répondit Maître Sam avant de lui demander de retirer son gode ceinture mais de le laisser là.

Sous les coups de reins puissants de Maître Sam, la cage de chasteté du pauvre Paul continua de se balancer un petit moment dans le vide. Les surprises de Paul ne s’arrêtèrent pas là, il comprit que l’amant sadique de se femme avait des intensions perverses quand il lui demanda de mettre à son tour le gode ceinture. Carla s’amusa comme une petite folle en lui disant qu’il bandait bien mieux que quand il était libre. En plein délire, elle s’agenouilla devant son mari pour mimer une fellation, hélas au gode et non pas à la verge encagée.

Maître Sam interrompit ce jeu en demandant à Paul de s’allonger par terre puis à Carla de s’empaler sur le gode de son mari. A fond dans son trip de Maîtresse allumeuse, elle ne manqua pas de se caresser les seins en bougeant ses fesses tout en rajoutant des commentaires élogieux du type : « chéri tu bandes comme un dieu aujourd’hui »......

Ce qu’elle ne vit pas venir, c’est le vît fier comme Artaban qui arrivait derrière elle. Maître Sam l’invita délicatement à embrasser son mari en la poussant sans précaution pour prendre la voie encore libre de sa soumise.

  • Ma puce, ce matin tu vas goûter à la double pénétration ! Déclara Maître Sam en se mettant à genoux derrière elle.

Lorsqu’elle se mit à gémir et dire que cela faisait mal, Maître Sam ordonna à Paul de lui tenir les mains et de la plaquer contre lui. Ravi de se venger un peu de sa femme et Maîtresse, il la bloqua de toutes ses f o r c e s et la prise de la bastille, la pastille pardon, se fit. Avec le temps, la délicate petite « pastille » se décontracta, ses cris se transformèrent en gémissement harmonieux avant de devenir plus « coquins » pour ne pas dire vulgaires. Dessous, le pauvre Paul prenait, sur le gode lui même s’appuyant sur sa cage de chasteté, les impacts des coups de reins puissants de Maître Sam. De fait, le couple coquin ne parvint pas s’accorder au niveau de la liturgie. Carla finit par prendre un pied d’enfer, Maître Sam par se laisser aller et Paul, confiné, par ne toujours pas jouir.

Dix minutes plus tard, le trio nageait dans la piscine en regardant la splendide vue imprenable sur la mer qu’offre leur maison sur les hauts de Fréjus. Paul apprécia d’autant plus que l’eau froide apaisa son érection confinée.

Une heure plus tard, Maître Sam muni de son attestation quittait la villa pour aller faire des courses. En son absence, lorsque Paul voulu avoir une discussion avec sa femme, elle l’emmena dans sa chambre pour le féminiser comme l’avait conseillé son Maître. Excité par ce nouveau jeu, et sans oser lui avouer que c’était dans ses fantasmes, il remit la discussion à plus tard. Carla lui prêta un maillot de bain deux pièces et une robe d’été. Pour les chaussures ce fut plus difficile. Elle parvint toutefois à lui trouver des sandales à talon dont les lanières peuvent se régler. Elles étaient certes un peu petites, mais cela pouvait aller, et puis de toutes façon, elle n’avait que ça. Alors son soumis n’eut pas d’autres choix que d’accepter.

Elle se fit aider pour finir de préparer le repas mais Paul trouva le moyen de se tacher. Il dut retirer la jolie robe d’été et rester en maillot pour préparer la grillade. Maître Sam apprécia que Carla ait suivi ses idées et l’embrassa avec fougue avant de faire une petite modification d’état civil. C’est ainsi que Paul devint Pauline. Le soleil était haut et chaud, aucune brise marine ne gâchait le plaisir d’être dehors et de profiter de cette sublime vue sur la mer pour manger dehors. La table fut dressée sur la terrasse près du barbecue géré par Paul qui n’allait pas tarder à réellement devenir Pauline, du moins, en partie.

Les délires le concernant allèrent bon train à grand coup de coupe de champagne. Les deux bouteilles emmenées par Maître Sam furent consommées ce midi là, entre l’apéro et le repas qui s’éternisa. Paul dut prendre des poses en Pauline, des photos furent faites dans une ambiance ultra décontractée, agréable comme c’est souvent le cas entre joueurs coquins.

Paul rigola moins quand sa femme lui indiqua que puisqu’il y avait une femme de plus à la maison, elle allait avoir moins de travail. Pauline fut donc chargée de débarrasser la table pendant qu’ils allaient bronzer.

Paul rigola moins (bis) quand, après les avoir rejoint sur les transat près de la piscine, il constata qu’il prenait un coup de soleil avec un haut de maillot de femme sur lui. Se précipiter à l’intérieur pour mettre de la crème ne servit pas à grand chose. Son dos rouge affichait une belle marque blanche de maillot.

  • Arrête de râler, avec le confinement nous n’avons pas le droit d’aller à la plage, personne ne le verra ! Lui dit Carla pliée de rire.

  • Tu as osé retirer le haut de ton maillot sans la permission de ta Maîtresse ? Lui fit remarquer Maître Sam. Moi, à sa place, je te punirai sur le champ.

  • Tu as raison, il gardera sa cage de chasteté jusqu’à la fin du confinement !

( A cette époque, les gens pensaient que cela durerait 15 jours ou 3 semaines, voilà pourquoi Paul, devenue Pauline est encagé depuis 47 jours)

EPILOGUE de cette petite histoire (Avant que j’aille arroser mon jardin qui n’a rien à faire du confinement)

En 47 jours de soumission à sa femme ainsi qu’à son amant, Paul a changé de personnalité. Mentalement, il est devenu Pauline. Des vêtements spécifiques pour sa féminisation ont été commandé chez ABCplaisir.com (Une boutique française ouverte qui expédie malgré le confinement)

En 47 jours de confinement, vous vous doutez bien que Carla a été indisposée, manque de chance pour Pauline deux fois. Comme Maître Sam a besoin de se vider les couilles deux fois par jour minimum, il est passé très souvent à la casserole par les deux côtés de son tube digestif.

Comme à la télévision on ne parle que de confinement et que les programmes deviennent lamentables, Pauline a du apprendre à faire des chorégraphies particulière pour distraire sa femme et son amant. C’est Maître Sam qui a eu l’idée de reproduire les scénarios de selfbondage qu’il a trouvé où ça ? Sur Fessestivites, évidement ! Le voir ramper à travers la maison ou dans le jardin pour se libérer les a amusé. Carla et Maître Sam prenaient des paris sur les capacités de Pauline à se libérer dans des délais raisonnables. Quand Carla gagnait, Pauline dormait entravé dans la chambre d’amis et quand Maître Sam gagnait, Pauline dormait bondagée sur le lit de la chambre d’amis. Ah c’est la même chose ? Ben ils s’en moquaient, cela leur permettait de faire l’amour tranquille sans le voyeur.

Par contre, Maître Sam n’est pas jaloux. Il laisse toujours Carla aller se faire lécher après qu’ils aient baisés. Cela permet à Pauline de s’habituer au goût du sperme, car après le confinement, elle ira travailler sur les parkings d’autoroutes.....

TSM

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